1 808 scientifiques et experts du climat viennent de signer la « Déclaration mondiale sur le climat ». L’organisation internationale de recherche sur le changement climatique, le Global Climate Intelligence Group (GCIG), l’a signé et a protesté contre la distorsion de la science, c’est-à-dire les mensonges des climatologues sous la bannière du GIEC, une agence pseudo-scientifique de l’ONU.
Les signataires de la dernière déclaration comprennent : Des lauréats du prix Nobel, des physiciens, des météorologues, des professeurs de nombreux centres de recherche et des scientifiques engagés à titre individuel dans la protection de l’environnement. Ils déclarent être une « organisation indépendante de surveillance du climat », créée en 2019 par le professeur de géophysique à la retraite Guus Berkhout et le journaliste scientifique Marcel Crok (lien).
Une science libérée de la politique et de l’argent !
« La science du climat devrait être moins politique et la politique climatique devrait être plus scientifique », peut-on lire dans le préambule de la déclaration annoncée.
De l’avis des scientifiques indépendants – unis dans leur opposition à la distorsion de la science réelle au profit de la thèse prédéterminée sur l’impact fondamental de l’homme sur le changement climatique – nous ne devons pas tomber dans une exagération non scientifique. Les prévisions concernant le réchauffement climatique sur Terre devraient être libres de toute pression de la part de politiciens cherchant des avantages matériels en alliance avec le monde des affaires.
Selon les scientifiques travaillant ensemble au sein du GCIG, la Terre s’est réchauffée d’environ 2 degrés Fahrenheit depuis la fin du Petit Âge Glaciaire vers 1850, et cela ne constitue pas une situation extraordinaire. Ce n’est même pas un symptôme de la crise climatique.
– Au cours des derniers millénaires, la planète a été encore plus chaude – a écrit Ralph Alexander, spécialiste du climat et professeur de physique à la retraite, à propos du nouveau rapport climatique sur son blog « Science Under Attack » (lien). Il existe de nombreuses preuves que les températures moyennes sur Terre étaient déjà plus élevées, par exemple dans ce que l’on appelle la période chaude médiévale (autour de l’an 1000 après JC), la période chaude romaine (lorsque les raisins et les agrumes étaient cultivés dans une Grande-Bretagne désormais beaucoup plus froide) et le début de l’époque holocène (c’est-à-dire après la fin de la dernière période glaciaire régulière).
– La crise climatique est une pure fiction – dit sans détour le scientifique.
Le GIEC ment
Le discours officiel sur le changement climatique résultant de l’impact néfaste de l’activité humaine tente d’être dicté par le consensus des scientifiques travaillant au sein du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies. Le GIEC soutient que le niveau de ce qu’on appelle Le CO2 naturel est resté constant à 280 ppm depuis 1750, et le CO2 produit par l’homme est responsable d’une augmentation de 140 ppm, représentant 33 % des niveaux totaux de CO2 dans l’atmosphère. Selon le GIEC, pour stopper le réchauffement climatique, il suffit de réduire les émissions de CO2 causées par l’activité humaine. Les conclusions du GIEC sont devenues la base sur laquelle les politiciens locaux et les militants climatiques agressifs ont forcé le passage aux véhicules électriques, l’abandon des combustibles fossiles et la limitation du progrès naturel et civilisationnel, prétendument responsable des températures périodiquement plus élevées qui prévalent dans de nombreuses régions du monde.
Des scientifiques indépendants, sans contact avec le monde politique et économique, affirment cependant que ce n’est pas ainsi que les militants écologistes et le GIEC le décrivent.
La vérité est (et il convient de le rappeler) que le dioxyde de carbone produit par l’homme, c’est-à-dire le dioxyde de carbone qui n’est pas le résultat du processus naturel de photosynthèse dans la nature, ne constitue que 5 à 7 % du dioxyde de carbone total entrant dans l’atmosphère. En utilisant les mêmes données de base de recherche que celles du GIEC, des scientifiques indépendants ont calculé que la nature elle-même est responsable d’environ 390 ppm de CO2 dans l’atmosphère, et que les humains ne sont responsables que d’environ 30 ppm, et non 140 ppm comme le prétend l’agence des Nations Unies. La probabilité que le CO2 soit le principal responsable des températures plus élevées est donc très faible.
Oui, le dioxyde de carbone joue un rôle dans ce phénomène, mais sa quantité accrue dans l’atmosphère est très probablement due à l’activité solaire variable et aux cycles océaniques, qui sont notoirement ignorés dans les modèles climatiques officiellement promus. De même, l’impact des changements survenus au cœur de la Terre sur le changement climatique n’a pas encore été exploré. Tout ce que nous savons, c’est que quelque chose « se passe » là-bas, qui pourrait également affecter les températures mondiales.
La recherche est-elle faussée ?
L’activité du GIEC est la preuve que la science devient de plus en plus un outil entre les mains des politiques. À leur tour, ils sont devenus (parfois sans le savoir) les exécutants des plans des élites du monde des affaires. Le GIEC – selon des chercheurs indépendants sur le climat – n’est qu’en apparence un organisme scientifique. Même les résultats de la recherche scientifique qui constituent les réalisations de cette organisation sont déformés et « gonflés » par les gouvernements et les organisations non gouvernementales qui dominent cette institution.