Que faire en cas de contrôle fiscal ?

Le gouvernement de coalition civique travaille à modifier les cotisations d’assurance maladie payées par les entrepreneurs. Deux idées sont sur la table.

Le cabinet de Donald Tusk souhaite modifier les règles de règlement des cotisations d’assurance maladie des entreprises, rapporte « Rzeczpospolita ». La semaine dernière, lors de la réunion de la sous-commission parlementaire pour l’entrepreneuriat, deux idées pour une nouvelle solution ont été présentées.

Les changements dans le paiement des cotisations d’assurance maladie visent à résoudre la confusion introduite il y a deux ans par l’Ordre polonais, puisque les entrepreneurs, sur une base échelonnée et linéaire, comptent les cotisations d’assurance maladie sur leurs revenus dans le règlement mensuel. Cela complique la vie des entrepreneurs car dans de nombreuses entreprises, les revenus qui servent de base au calcul de la cotisation diffèrent du revenu imposable, ce qui nécessite de tenir des registres supplémentaires.

La première idée du nouveau gouvernement pour faire face aux problèmes actuels des entreprises est de verser chaque mois une contribution forfaitaire d’un montant fixe, ce qui faciliterait la vie des entrepreneurs et des comptables. Une cotisation fixe ne nécessiterait pas non plus de déclaration mensuelle, ce qui permettrait d’économiser du temps et de l’argent. Dans le cas d’un règlement annuel, la base de calcul de la contribution serait la même que la base fiscale, il ne serait donc pas nécessaire de tenir des registres supplémentaires.

La deuxième solution envisagée par les autorités est de permettre aux entrepreneurs de choisir le mode de calcul de la cotisation, c’est-à-dire soit selon des fourchettes progressives en fonction des revenus, soit en fonction des revenus fiscaux. De cette façon, les entrepreneurs décideraient eux-mêmes de ce qui leur est le plus avantageux.

Pour l’instant, les analyses de la réforme sont toujours en cours et il faudra attendre d’éventuels changements, car les modifications doivent encore être consultées avec d’autres ministères et corrélées avec l’évolution de la fiscalité.

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