La Chancellerie du Premier ministre a informé des travaux sur un projet visant à introduire la possibilité de choisir ce qu’on appelle cash PIT par les plus petits entrepreneurs.
La liste des travaux législatifs et programmatiques du gouvernement comprend l’introduction de la possibilité de choisir ce qu’on appelle cash PIT par des entrepreneurs dirigeant de petites entreprises. Le ministère des Finances doit travailler sur ces changements.
Les solutions proposées supposent l’introduction de la possibilité de choisir le mode de règlement en espèces des revenus et dépenses, dit Cash PIT, par des entrepreneurs dirigeant de petites entreprises (méthode de règlement facultative). Grâce à ces solutions, ces entrepreneurs ne paieront l’impôt sur le revenu des personnes physiques qu’après avoir effectivement reçu le paiement des biens ou services fournis et déduiront les frais d’obtention des revenus à la date du paiement des biens ou services fournis.
– expliqué.
À la suite des changements, 2 ans après l’émission d’une facture ou la conclusion d’un contrat, le contribuable devra reconnaître les revenus de l’activité commerciale, même s’il ne reçoit pas de paiement de l’entrepreneur pour les biens ou services fournis. Le Cash PIT est accessible aux entrepreneurs exerçant une activité uniquement à titre individuel, si leurs revenus provenant de cette activité au cours de l’année fiscale précédente n’ont pas dépassé 500 000 PLN. PLN et pour les entrepreneurs qui démarrent une entreprise. Les entrepreneurs qui tiennent des livres comptables ne pourront pas choisir le cash PIT. Cette méthode de transaction ne doit être autorisée que dans les transactions entre entrepreneurs (dites B2B), c’est-à-dire que le contribuable reconnaîtra les revenus et les coûts déductibles fiscalement sur une base de trésorerie lorsqu’un autre entrepreneur est partie à la transaction.
Selon le plan, le droit de choisir l’impôt sur le revenu en espèces sera accordé aux contribuables dont les revenus provenant d’une activité commerciale sont soumis à l’impôt sur le revenu des personnes physiques selon des principes généraux selon le barème d’imposition ou ce qu’on appelle l’impôt forfaitaire et les contribuables payant un impôt forfaitaire sur les revenus professionnels sous la forme d’un montant forfaitaire sur les revenus enregistrés.
Le gouvernement souhaite adopter le projet de loi correspondant au deuxième trimestre 2024.