Un projet de loi citoyen sur la déréglementation, présenté au nom du Droit et de la Justice, a été soumis au Sejm. Selon les initiateurs de ces changements, ils sont largement attendus.
Une proposition de projet de loi de déréglementation a été présentée au Sejm, qui contient 27 changements. Les candidats affirment qu’il s’agit d’un projet important pour l’ensemble de la Pologne car il répond aux attentes de nombreux groupes de citoyens, d’associations et d’organisations économiques.
Le représentant des candidats est Bartłomiej Wróblewski, député du PiS, qui a révélé sur le site X que les propositions incluent des solutions telles qu’une réduction de 23 à 5 pour cent. TVA sur les vêtements et chaussures pour enfants, augmentant le montant à hauteur duquel l’impôt forfaitaire peut être réglé de 2 à 3 millions d’euros et déterminant le seuil annuel (au lieu de mensuel) jusqu’où il est possible d’exercer des activités non enregistrées.
Les changements proposés élargissent les libertés garanties par la Constitution des citoyens et des entrepreneurs : liberté d’exercer une activité commerciale, liberté personnelle. Ils renforcent la mise en œuvre des droits de propriété. Ils réduisent la bureaucratie qui entrave le développement et rend la vie difficile
– a écrit le député Wróblewski sur le site X.
Quant au ZUS, le projet propose de supprimer le délai d’utilisation du petit ZUS plus et de renforcer la position des citoyens et des entrepreneurs en cas de litiges avec le ZUS. La liste comprend également une multiplication par trois (de 100 000 PLN à 300 000 PLN) du seuil d’exécution de ce que l’on appelle une comptabilité simplifiée par les organisations non gouvernementales, ainsi qu’un assouplissement de la forme à respecter lors de la conclusion d’un contrat de location – à la place de la forme écrite, valable sous peine de nullité, il est proposé d’introduire une forme documentaire. Il est intéressant de noter que l’une des idées est la possibilité de retirer temporairement n’importe quel véhicule de la circulation.
La liste des propositions comprend la suppression du pouvoir discrétionnaire lors de la délivrance de permis d’armes à feu par les commandants de police et la possibilité pour les commissions d’appel des gouvernements locaux de statuer dans certains cas en commissions composées d’un seul membre et de délibérer à distance.