Après deux ans de bataille juridique, la Cour fédérale canadienne a statué que le gouvernement du Premier ministre du Canada avait outrepassé la loi en utilisant des pouvoirs spéciaux et en harcelant les conducteurs qui manifestaient, entre autres. contre les vaccinations obligatoires contre le COVID-19.
Justin Trudeau et son gouvernement ont outrepassé leurs pouvoirs en réprimant brutalement la rébellion contre le confinement et ses réglementations – une rébellion connue dans le monde entier sous le nom de « Convoi de la liberté », lancée par des entrepreneurs du transport il y a deux ans.
Le dispositif du jugement rendu par la Cour fédérale du Canada déclare que les camionneurs protestataires « ne constituaient pas une menace à la sécurité nationale comme l’exige la Loi sur les mesures d’urgence ».
Ainsi, le tribunal canadien a jugé que le gouvernement Trudeau avait violé la Charte des droits et libertés – l’équivalent canadien de la Déclaration des droits américaine.
Bloquer des comptes était illégal !
Il y a deux ans, le premier ministre Trudeau s’est octroyé des pouvoirs extraordinaires en invoquant la Loi sur les situations d’urgence, et son gouvernement a mis en œuvre une répression contre les entrepreneurs à la manière d’une dictature fasciste (mais vêtue des gants blancs de la démocratie). Un élément de l’ensemble des répressions utilisées à l’époque consistait à autoriser le ministre fédéral des Finances à geler les comptes bancaires personnels des manifestants – sans qu’il soit nécessaire de présenter une décision de justice. Résultat, la GRC (services secrets canadiens) a ordonné aux banques de geler 257 comptes bancaires des conducteurs les plus rebelles.
En raison du harcèlement vaccinal entrepris par le gouvernement de Justin Trudeau, de nombreux entrepreneurs du transport ont subi de lourdes pertes, leurs entreprises ont fait faillite assez rapidement et des familles entières se sont retrouvées avec des dettes et des traumatismes non guéris.
Vers la justice
De l’avis des chauffeurs et des propriétaires d’entreprises de transport, leur propre gouvernement a été corrompu par des producteurs de vaccins impitoyables et avides de profits. Après la décision du Tribunal fédéral, ils n’excluent pas d’intenter une action civile contre lui.
Le gouvernement Trudeau a déjà annoncé qu’il ferait appel de la décision de la Cour fédérale devant la Cour d’appel fédérale. L’affaire finira probablement devant la Cour suprême.
Quelle que soit l’évolution de l’affaire, c’est la preuve que la justice, même lente, existe. Et aussi que dans un système démocratique, il y a des limites que les hommes politiques élus par les citoyens ne devraient jamais franchir !