Les employés polonais attachent une grande importance à l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée et pour eux, c’est le facteur le plus important qui influence leur satisfaction à l’égard de leur lieu de travail actuel ou potentiel.
L’équilibre entre vie privée et vie professionnelle est l’élément le plus important qui influence la satisfaction des Polonais au travail – selon le dernier rapport de l’Institut de recherche Randstad. Ce facteur a été mentionné par pas moins de 94 pour cent. répondants, alors que dans le monde cette réponse a gagné 93%. les indications. La deuxième place du classement a été occupée par une rémunération attractive, qui a obtenu 92 % en Pologne. (93% au niveau mondial) et en troisième place – le sentiment de stabilité de l’emploi, indiqué par 89% chacun. répondants en Pologne et dans le monde.
Le travail à distance est en retrait
L’étude Randstad a également montré que la tendance au retour au bureau se poursuit partout dans le monde. Jusqu’à 28 pour cent Les Polonais ont admis que l’employeur s’attend à ce qu’ils travaillent plus souvent au bureau qu’au cours des six mois précédents, et le même pourcentage affirme que le respect de cette recommandation est contrôlé plus rigoureusement. À titre de comparaison, 35 % des personnes dans le monde sont invitées à travailler plus souvent au bureau. répondants, et 41 pour cent se sent plus en contrôle de cet élément.
L’étude montre que les salariés sont habitués aux solutions qui leur permettent d’exercer leurs fonctions en dehors du bureau : pour 39 pour cent personnes, la possibilité de travailler à distance est si importante qu’elle n’est pas négociable. Chez les Polonais, ce pourcentage est légèrement plus élevé et atteint actuellement 43 %. Dans le même temps, les salariés polonais étaient moins susceptibles de répondre par l’affirmative (32 % contre 37 % à l’échelle mondiale) lorsqu’on leur demandait s’ils envisageraient de quitter l’entreprise si cela les obligeait à être présents plus souvent au bureau. Les Polonais seraient également moins susceptibles de rejeter une offre d’emploi si celle-ci n’incluait pas la flexibilité du lieu de travail (28 % contre 37 % au niveau mondial) et des horaires de travail (35 % contre 41 %).
– écrit dans le dernier Randstad Workmonitor.
Dans le même temps, l’étude citée a montré que 36 pour cent Les Polonais estiment que leur employeur ne leur offre pas un nombre suffisant de jours de télétravail, tandis que 22 pour cent les employés ont admis avoir pris des décisions de vie, par exemple déménager hors de la ville, en partant du principe que le travail à distance serait là pour rester (jusqu’à 37 % dans le monde).